12 avril 2008

Discours de Vince Lombardi


Ce discours est considéré comme étant un des plus grand discours de l’histoire du football.
(Ce discours n’est pas breveté)

CE QUE C’A PREND POUR ÊTRE NO. 1
par Vince Lombardi

Gagner n’est pas quelque chose; c’est tout le temps quelque chose.

Vous ne gagner pas une fois de temps en temps; vous ne faites pas les choses bien de temps en temps, vous les faites biens tout le temps.

La victoire est une habitude, malheureusement, la défaite aussi.

Il n’y a pas de plus pour être deuxième. Il y a seulement une place dans MA « game » est c’est la première.

J’ai fini deuxième deux fois à Green Bay, et je ne veux jamais finir deuxième encore.

Il y a un trophée pour les deuxièmes, mais c’est pour les plus faibles.

Pour les Américains, cela a toujours été notre zèle d’être premier à tout ce que l’on fait, et de gagner, gagner, gagner.

Chaque fois qu’un joueur de football joue sa passion, il doit jouer du sol vers le haut – des crampons de ses souliers jusqu’à sa tête. Chaque pouce de lui doit jouer.

Il y a des joueurs qui jouent avec leur tête. C’est bien. Il faut être vif pour être No. 1 dans tout. Mais encore plus important, il faut jouer avec son cœur, avec chaque fibre de son corps. Si vous êtes assez chanceux pour trouver un gars qui a beaucoup de tête et de cœur, il ne sortira jamais du terrain deuxième.

Diriger une équipe de football est comme diriger tout autre organisation, une armée, un parti politique ou une entreprise. Les principes sont le mêmes. L’objectif est de gagner. de battre l’adversaire. Peut être cela semble dur ou meme cruelle. Je ne pense pas que ce l’est.

C’est la nature humaine qui fait que les hommes sont compétitifs et la plupart des sports compétitifs attirent ces hommes compétitifs. C’est pour cela qu’ils sont là. Pour compétitionner. Pour connaître les règles et objectifs lorsqu’ils entrent dans la partie.

Le but est de gagner équitablement, franchement, d’après les règles - mais de gagner.

Et en toute vérité, je n’ai jamais connu un joueur qui en bout de ligne, au fond de son cœur, n’appréciais pas la discipline et de « bûcher ».

Il y a quelque chose dans de bons hommes qui aiment la discipline et la dure réalité du combat en face-à-face.

Je ne dits pas ces choses parce que je crois en la nature « brute » de l’homme ou que les hommes doivent être brutalisé pour être combatifs. Je crois en Dieu, et je crois en la décence humaine. Mais je crois fermement que toute heure venue, le plus grand désire de tout ce qu’il a de plus chère au monde, est ce moment ou il a jouer avec tout son cœur durant chaque partie pour une bonne cause et demeure époustouflé sur le terrain de guerre – victorieux !

Vince Lombardi

*photo - www.jsonline.com